Un cœur palpite, fragile et ardent, dans l’azur d’un ciel traversé d’élans.
Autour de lui : une fleur, un battement d’ailes, un souffle de vie.

C’est une peinture du paradoxe.
D’un cœur exposé, vulnérable, presque nu…
Et pourtant vibrant, vivant, relié.

À gauche, une branche fleurie : la douceur, la floraison de soi.
À droite, un papillon : la légèreté, la métamorphose, la liberté.

Et au centre, ce cœur rouge intense, veiné d’or, planté dans le bleu.
Comme une affirmation : “J’existe. J’éprouve. J’ose aimer encore.”