“Elle portait le feu”
Une silhouette paisible, les yeux clos, traverse le chaos en portant le feu sacré du cœur.
Témoin d’un monde en fusion, elle reste debout. Présente. Reliée.
Il y a des femmes qui brûlent sans crier.
Qui traversent les tempêtes en silence,
Le dos droit, les larmes discrètes.
Cette figure incarne l’une d’elles.
Entourée de tumulte, d’incendies colorés, de griffures du monde,
Elle garde les yeux fermés… non pas pour fuir,
Mais pour mieux sentir.
À droite, un cœur palpite dans l’ombre, comme un vortex émotionnel.
À gauche, un chaos en expansion, fait d’oranges, de rouges, de noirceurs mêlées.
Et elle, au centre.
Présente.
Elle portait le feu.
Et personne ne le voyait.
